(A propos de POLAR, le 09/02/2024) Tout est sublime d’inventivité, de suspense et de justesse.
(A propos de F 8, le 08/02/2024) Pourquoi as-tu… : à travers les piqûres d’un vieux cheval : l’exploitation (notamment animale) pour quelques images Supernova : un peu long pour une rencontre, le ressort scenaristique des mondes qui se percutent pour aborder des sujets sociaux est maladroitement amené… Au 8e jour : animation déplaisante et décousue Na Marei : superbe film sur la condition des femmes en Afghanistan. Angle audacieux et prestation brillamment exécutée. Dom Juan : beaucoup de tournis pour pas grandchose…
(A propos de F 3, le 08/02/2024) La voix des autres : beau portrait d’un métier : celui d’interprète, et de la difficulté de ce role-tampon, dépersonnalisé. Maurice’s bar : petite histoire dans la grande Histoire : celle d’un bar gay tenu par un juif algérien qui sera déporté à Auschwitz. Ici en silence tout hurle : narration sophistiquée et histoire inaboutie.. Les mystérieuses aventures de Claude Conseil : actuel, comique, ingénieux. Une excellente surprise
(A propos de F 5, le 08/02/2024) J’ai vu le visage du diable : superbe réalisation et photographie dans un univers mystique et rétrograde à la fois. Excellent ! Été 96 : histoire de vacances joliment contée. Sans plus There is no friend’s house : poignant court sur la vie des femmes en Iran Pleure pas Gabriel : drôle et touchant, mérite une récompense…
(A propos de L 1, le 08/02/2024) « 512x512 » est intéressant. Pour le reste, je ne garde rien…
(A propos de CH, le 08/02/2024) Superbe séance d’archives sur un combat unique : celui des LIP. Angle féministe riche et intéressant, de même que le format de vidéo utilisé. La conférence qui a suivi la projection a permis de remettre les courts dans leur contexte. Passionnant !
(A propos de F 10, le 08/02/2024) Ma poule : mignon sans plus Avec l’humanité.. : tableau poignant, vrai film social, interprétation impeccable. Bravo. La perra : je ne m’abaisserai pas à commenter… Hiver : l’idée est bonne, à savoir le séjour au ski comme paroxysme des rapports de classe et leur reproduction dès l’enfance. Cependant, c’est inabouti et manque d’une chute ; pourtant, le contexte s’y prête ! Et si le soleil… : comique, social et plaisant!
(A propos de I 6, le 09/02/2024) Betzilo : je me suis endormi Virundhu : le message est passé au bout de 30 secondes, les 24 minutes qui suivent sont donc très longues Spring 23 : pas de message ni le début d’une idée… Lange nicht gesehen : actrice principale formidable, fresque d’une grande justesse sur les bullshit jobs, l’encadrement moderne, tous les travailleurs de bureau s’identifieront! Nun or never : oubliable
(A propos de AD, le 10/02/2024) Superbes courts, tout en finesse et en subtilité ! A voir absolument
(A propos de I 10, le 09/02/2024) Stück : beau film sur l’acceptation, bien qu’un peu allégorique. Coal : poignant, transcrit superbement l’exploitation à mort de la classe laborieuse, et les conflits qui la traversent. Ovejas : film fasciste (je pense que c’est le terme adéquat) fantasmant une classe paysanne péruvienne anti-communiste, les révolutionnaires comme des sanguinaires, et les curés comme des saints. Le tout à la sauce évangélique. Un grave loupé dans la sélection. Carer : oubliable Un trou dans la poitrine : joli court sur le cancer vu par un enfant You’re invited : délire à l’américaine, toutefois divertissant et inventif!!
(A propos de I 12, le 09/02/2024) Passaro : poésie sur le souvenir et le refoulé… un peu abstrait Suddenly TV : documentaire simple et assez informatif Matta und Matto : images très spéciales, sujet épuisé et amené avec la subtilité d’un éléphant dans un magasin de porcelaine Kafana na Balkanu : court d’une grande finesse et remarquablement interprété sur la difficulté de l’immigré, entre culture d’origine et intégration à l’arrivée. Mérite d’être récompensé. Yellow : pas le meilleur de ce festival sur le thème des femmes au Moyen-Orient, mais le parti pris est original! Suck : fatigant
(A propos de F 2, le 08/02/2024) Vambora : beau court de rencontre, et d’amour sans amour (quoique ?) dans un contexte social explosif et très actuel. Pour le reste, séance sans rien de remarquable ou d’intéressant.